25 avril 2006

Il est né le divin enfant...

Et voilà! Je suis tata pour la... 6e fois!

Bah dis donc! Ca en fait des mioches dans la famille! Ma soeur Vio a accouché hier soir à 22h38 d'un petit Mathieu, enfin quand je dis petit... pas si petit que ça! Il pèse 4,480kg et mesure 54cm! Un beau truisseau, moi j'vous l'dit! D'ailleurs pour toi cher lecteur en exclusivité une ptite photo envoyée par ma soeur :



Sinon en parlant de truisseau, nous sommes allés voir la pédiatre cet aprem, pour la visite des deux ans, et Cédric pèse 12,850kg pour 87,5cm
On a bien papotté avec le docteur Gourrier et elle a promis de venir sur le forum des bébés flp. On a tellement papotté que j'ai oublié de lui montrer que les oreilles de Cédric coulaient... quelle nulle! Me voila bonne pour prendre rdv chez le médecin!

Samedi (je la fais dans le désordre...) nous avons fêté les deux ans de Cédric au festival disney et c'était l'enfeeeeer! 75€ de resto avec le gateau d'anniv (ça c'est jsute notre part à nous, pas celle de mes soeurs!) et un loulou infernal, fatigué, intenable, et qui est rentré avec des gnions partout à force de tomber et d'être trimballé par ses cousines à droite à gauche... expérience à ne pas refaire, donc!

Dimanche on a été chez belle maman on a à nouveau soufflé les bougies de Cédric et aussi celles de Jérémie. Là c'était plus cool, mais Cédric était sans arrêt dans mes jupes et huuurlait dès que je faisais mine de m'éloigner.





Ah oui j'oubliais aussi la grande nouvelle! Faiza, la nounou qui gardait Cédric cet été est disponible pour le garder à nouveau! Je la vois jeudi pour en discutter en on commencerai la semaine prochaine! C'est cool non?

Voilà cher lecteur, je te laisse, j'ai pas fait un pavé pour une fois (enfin je crois!), je suis fatiguée faut que j'aille au lit! BONNE NUIT!

bon voilà je fais court mais il est tard et je dois me coucher! bonne nuit cher lecteur

20 avril 2006

Des truies au chocolat

L'anniv de mon lardon et nos oeufs de pâques!

J'ai plein de choses à te dire (encore!) cher lecteur mais je ne trouve pas le temps en ce moment, du coup ça s'accumule et j'oublie tout! Sans compter que là je suis malade comme... comme une truie! Et donc j'ai pas les idées très claires, alors on va faire comme on peut, hein, tu m'excusera!

Alors... où en étions nous?

Vendredi... compromis!

Donc ce week end Tawny partait en allemagne avec Piark pour aller à la Breakpoint. Il avait tout bien organisé pour partir Vendredi midi après avoir posé Cédric à la halte. Moi, Jeudi soir, comme Vendredi c'était l'anniv de Cédric, j'avais préparé un gateau pour emmener à la halte. Bon je m'étais pas cassée la tête, j'avais acheté une pâte toute prête mais bon c'est l'intention qui compte. J'ai étalé dessus du nutella et j'ai saupoudré avec les petites boules en chocolat qui restaient du gateau de Jérémie.
Bon ça avait l'air plutôt mangeable...
Donc Vendredi à 13h45 après avoir tout préparé pour son départ, chargé la voiture du Piark et tout et tout, Tawny emmène son fils à la halte, avec le gateau. Mais les dames de la halte s'aperçoivent que Cédric a les yeux qui coulent... MALHEUR! Enfer et damnation! Il a la conjonctivite et c'est trèèèès contagieux!
Voilà dont mes deux chéris qui font demi tour, le gateau sous le bras. Pas d'anniv pour mon loulou pour cause de conjonctivite... c'est pô juste!
Heureusement, Cédricou a finalement passé l'après midi chez sa mamie. Le docteur était en vacances mais la pharmacienne lui a donné des gouttes pour soigner ses yeux... Effectivement, quand je l'ai récupéré le soir, ça coulait bien!
D'ailleurs le soir j'ai dit à Christiane de me le ramener à 19h00 pour être sure que je sois bien rentrée, mais j'avais oublié que c'était elle qui avait mes clés, du coup je me suis retrouvée à la porte à 18h30! Bon j'ai pu squatter un peu chez les voisins c'était plutôt sympa... Du coup je les ai invités le dimanche à manger le midi.

Samedi pas réussi...

J'étais pourtant motivée Samedi, mais rien n'allait comme je voulais. J'ai pas fait tout le ménage que je voulais, j'étais fatiguée, pas motivée, Cédric était grognon...
Je devais recevoir ma copine Sandya le soir, et aussi Christophe et Edith qui m'ont téléphoné pour me demander s'ils pouvaient passer.
Le matin on a regardé Bambi, Cédric et moi, et j'ai pleuré comme un veau tout le long. Pas seulement quand la maman de Bambi meurt, non, tout le long! En me traitant toute seule de débile mentale, bien sur, tu imagine cher lecteur, mais bon quand même, je savais pas que ça m'arriverai un jour de pleurer devant Bambi... c'est la vieillesse tu crois?
L'après midi je fais des courses avec Cédric et c'est l'épopée pour pouvoir acheter ce dont j'ai besoin, me souvenir de tout, et courrir après Cédric. Finalement j'ai réussi à pas tout oublier, juste un peu, et à rapatrier les courses et le lardon à la maison sans rien jeter dans la marne au passage... un exploit!
Sandya n'est pas venue, elle m'a dit sur msn le soir qu'elle était chez son mec et qu'elle avait dit à ses parents qu'elle dormait chez moi... Et Christophe et Edith arrivaient pas à s'organiser pour venir jusqu'à chez moi donc on a reporté au lendemain...
Finalement j'étais soulagée, j'ai pu me reposer.

Dimanche, c'est la fête!

Le matin, branlebas de combat! Cette fois ça rigole pas, j'ai du monde qui viens de partout et je n'ai encore rien fait!
Objectif numéro 1 : préparer un gratin dauphinois pour le midi. Heureusement, Cédric est pas levé encore. Il dort comme un loir. Je pèle mes patates, je les lave, je l'entend qui gigotte dans son lit... je me dépêche... le stress... faut que je finisse avant qu'il se lève sinon je suis fouttue!
Hop, je sors le robot et je coupe mes patates en lamelles... là c'est sur il est réveillé! Mais il crie pas, il joue comme un gentil lardon d'amour...
Je dispose mes patates dans le plat, le four préchauffe, je mets de l'ail en poudre, du sel, pas de poivre pasque j'en ai plus, puis je verse le lait jusqu'au raz des patates. Après ça j'ajoute la crème fraiche puis le gruyère rapé et hop! Au four!
Je me paie même le luxe de laver le robot avant de faire le bib de Cédric. La cuisine est propre, j'ai tout nettoyé entre samedi et le dimanche matin, reste plus que le salon à faire!
Je lève le loulou, lui donne son bib, et je commence à ranger. Rapidement, Cédric décide de m'aider et délaisse son biberon pour déranger au fur et à mesure que je range, mais bon finalement j'y arrive.
Une fois l'aspiro passé, je m'aperçois que l'appart est plein de fumée. J'ouvre toutes les fenêtres, c'est mon gratin qui fume. Forcément, mon four chauffe de trop. Et le gratin ben dedans y'a du lait. Et le lait ça bout. Et quand ça bout ça déborde. Et quand ça déborde ça tombe au fond du four et ça brûle et ça fume...
Bref.
On toque à la porte.
C'est ma voisine Karine, toute affolée...
"tu sens la fumée?"
"heu ouais... je fais la cuine..."
"Aaaaah j'ai eu trop peur j'ai cru que c'était la maaf qui avait pris feu!"
(impassible)"non, c'est mon gratin pour ce midi. Je t'assure personne le réussit aussi bien que moi..."(sourire convainquant)
"ah d'accord... ah bon... ben à tout à l'heure alors!"
J'en profite pour lui coller mon rosbeef que je savais pas quand ni où faire cuire puisque mon four était déjà plein de gratin et de lait carbonisé... ça m'a rassuré de voir qu'elle ne savait pas comment on cuisinait un rosbeef... on va bien s'entendre je crois, toutes les deux!
Je retourne à mon ménage, j'ai presque fini.
Je me suis pas douchée bien sur, pas eu le temps, ni habillée, ni coiffée.
Je passe la tête à la fenêtre pour prendre l'air et là je vois Claude Lise et Philippe qui arrivent avec leur petit David. Un coucou de la main et zou! Je fonce enfiler un haut que m'a donné Christiane la veille... je sais pas s'il me va mais on fera avec!
Hop! Voilà mes premiers invités qui arrivent!
Je refais ma tresse hâtivement, tant pis, ça ira bien comme ça!
Cédric est tout content de recevoir son copain avrilou. Je préviens Karine qu'elle peut monter.
Finalement mon gratin était bon! Mais le plat, à l'heure d'aujourd'hui je l'ai pas encore récupéré! Je sais pas si je vais y arriver! Je pense que si, j'en suis pas à mon premier gratin... héhé... on m'la fait pas à moi!
Les ptits loups se sont bien amusés, ils ont mis un bordel monstre mais c'était super de les voir jouer ensemble! Davidou a offert le zoo légo à Cédric, ça lui a bien plu!
En dessert, on a mangé le très bon gateau de Claude Lise et le gateau brûlé que j'avais fait pour la halte et qui était dégueu...
Ensuite, Karine, Fred et le petit Antoine sont partis. On est allés au parc jouer un peu, les enfants se sont bien amusés au tobogan.
Au moment des adieux, Cédric m'a fait une crise de larme pas possible! J'ai eu du mal à le calmer. Finalement je l'ai couché et il est tombé de sommeil...
Après ça, Christophe et Edith sont arrivés avec leur petit Thomas de 1 mois, suivis de près par ma soeur Babeth, son mari Patrick et mes nièces Noémie et Maëlle. Patrick a perdu 13kg il est tout beau comme au tout début!
Une aprsè midi sympa, papotage et café, ça fait du bien de revoir ma famille et de faire connaissance avec le petit Thomas!
Edith et Christophe sont restés manger la pizza, et maëlle a voullu dormir à la maison! Ca m'a fait très plaisir de la garder avec moi, elle est adorable! Edith n'en revenait pas de son intelligence et de sa gentillesse! Il faut dire qu'elle s'est occupée de bébé Thomas comme une pro toute la soirée!
Quand Edith et Christophe sont partis, Maëlle m'a demandé à regarder un dessin animé avant de dormir. J'ai mis Pinocchio et elle s'est endormie devant au bout de 2 minutes, c'était trop mignon!

Lundi en chocolat!

Lundi matin, Patrick est venu chercher sa fille. Ensuite, Beau papa et belle maman sont venus nous chercher pour aller à Quincy. On a un peu parler de mon futur boulot et bon... je sais pas trop quoi te dire cher lecteur si ce n'est que j'ai accepté le poste. Pour le reste, je crois que j'y verrai plus clair quand j'y serai!
Nous avons caché les oeufs dans le jardin et Cédric a bien rigolé à les chercher partout! On s'est régalés bien sur!
L'après midi s'est passé en grande partie au parc, Cédric s'est éclaté au tobogan et on a pris le soleil avec Catherine...
Ensuite rentrage à la maison, Jérémie alias Tawny est revenu de sa part avant que Cédric n'aille au lit, c'était super les retrouvailles en famille, j'était si heureuse de retrouver mon chéri, ça fait du bien!

Bon pour la suite, cher lecteur, je fais vite, je suis fatiguée!

Donc je suis retournée au boulot mardi, et ma patronne m'a donné ma semaine parce que j'avais une sale tête et qu'elle m'a fait mon chèque que mardi. En fait je suis malade, encore à l'heure d'aujourd'hui, ça va pas fort mais au moins je peux me reposer!

Voili voilou! Samedi c'est le grand jour! On fait l'anniv de Cédric au festival Disney!

12 avril 2006

Les péripétie de la truie...

ou n'est pas truie qui veut...

J'ai plein de choses à te raconter, cher lecteur et si j'attends encore ça risque de s'accumuler, je ferai un tel pavé que même toi, volontaire et acharné comme je te connais, tu risque l'indigestion verbale.
Alors allons-y... par quoi je commence?

déboulonnage au boulot...

Episode 1


Tu n'es pas sans savoir, cher lecteur assidu, que la vie n'est pas toujours rose dans mon boulot truitesque. D'abord, l'association va mal. Ensuite, par voie de fait, mes patrons vont mal. Donc tout va mal. Pas de fric, beaucoup de boulot, pas les moyens d'effectuer le boulot, remises en questions et pétages de plomb, longues séances solitaires au boulot sans plus aucune motivation pour bosser... c'est mon quotidien.
Donc, régulièrement je fais les petites annonces, mais sans plus, quitte à changer je me dit que je voudrais mieux, plus prêt, et mieux payé! Donc autant te dire cher lecteur que ce n'est pas dans les pages du site de l'anpe que je trouve mon bonheur. Quand un boulot parrait intéressant, sur d'autres sites, c'est réservé à des stagiaires...
Et voilà t'y pas que le week end dernier, mon BP qui possède 3 boucherie, voudrait ouvrir un commerce de gros (si j'ai bien compris) près de chez moi et que pour l'occasion il aura besoin d'une secrétaire à plein temps... Je lui dit ma foi, ça se cogite, pourquoi pas, ce serait l'occasion de partir... de toutes façons j'ai le temps, c'est pas fait!

Bref, je range ça dans un coin de mon cerveau...

Ce jour là, ça n'a rien à voir mais tu vas comprendre ensuite, cher lecteur, car tu sais que je suis un peu space mais que je ne manque pas de logique, belle maman profite de ma venue pour me donner un plein sac de fringues qu'elle ne met plus et qui sont quasi-neuves.

Le lendemain, j'étrenne donc pour aller au boulot un très joli pull noir échancré qui me vaut d'avoir froid à la poitrine toute la journée. Le lendemain, je réitère l'expérience du pull en ajoutant à ma tenue un foulard pour avoir chaud, et quitte à me faire belle, je rajoute un petit ensemble pendentif-boucles d'oreilles bleu turquoise pas trop assortis au foulard rouge mais bon, on fait comme on peut! Une touche de maquillage comme je fais maintenant assidument depuis un mois, et me voilà ravie de ma mise...
Je rejoins mes patrons sur le parking comme beaucoup de matin, et on part au boulot, tout va bien. On discutte gentiement.
On descend de la voiture et on continue de papotter avec ma patronne, mais je vois bien qu'elle me jette des regards en biais et qu'elle tord un peu son nez. Comme je viens de lui raconter que j'ai fait "affaire" avec la proprio du bureau pour lui vendre un pc je me dis qu'elle aime peut être pas l'idée, et je cherche pas plus loin.
Arrivés au bureau, j'enlève ma grosse doudoune, et là je vois que ma patronne me fusille carrément du regard. Comme elle ne dit rien j'ajoute rien non plus et fais mine que rien, je me dis qu'il y a anguille sous roche, ou dinausore sous brindille comme elle dit souvent ma patronne, mais je fais comme si j'avais rien vu.
Je propose du café, elle refuse.
Je prends mon café et je m'installe à mon bureau, je dis rien. Et d'un coup d'un seul, elle se lève, avance vers moi et déclare rageusement :

"si demain je viens avec une plume dans le cul tu vas faire pareil???"

Mon patron et moi on la regarde sans comprendre, elle répète ce qu'elle viens de dire. Je lui dit qu'est ce qui t'arrive, c'est quoi le problème? Et mon patron lui demande si elle est folle ou quoi? Sur quoi ma patronne se fache tout rouge et déclare que ça a trop duré, qu'elle dit rien mais que là c'est trop, et qu'elle va se casser. Elle prend ses affaires et elle s'en va. Avec mon patron on se regarde sans comprendre, et je vais fermer le portail, puis je reviens et on se remet à bosser sans rien dire, ça a jeté un froid...
5 minutes plus tard elle sonne au portail, je vais ouvrir, je la calcule pas. Elle dit "j'ai envie de faire pipi et puis j'ai même pas de sous pour le café" mi-rigolant. Je me détourne pour fermer le portail, sans rien dire, je suis trop vexée. Et là elle explose à nouveau :

"ça fait des mois que ça dure, tu t'habille comme moi, tu fais tout comme moi, j'ai l'impression que tout ce que je fais faut que tu le fasse! Je mettais ça sur le compte de l'âge, t'as 25 ans c'est normal mais là c'est trop j'en ai raz le bol, alors t'arrête maintenant!" et blablabla et blablabla!

Je me défend comme je peux, je case que c'est son problème à elle si elle aime pas ma tenue, mais elle ne m'écoute pas, elle continue sa crise, donc je me casse vers le bureau, je balance les clé sur la table et je retourne faire la gueule derrière mon ordi.

Un peu après, mon patron s'en va car il a une intervention avec les jeunes. On reste dans le silence, moi je tape rageusement sur mon clavier. A un moment ma patronne me demande un truc et je lui répond sèchement, je ne décolère pas.
Au bout d'une heure, je la vois du coin de l'oeil qui me fonce dessus, je bouge pas, elle me passe les bras autour du coup et me serre contre elle en disant :

"allez... fait bisou à Nath..."

Je reste raide, abassourdie, je me dit elle a craqué c'est pas possible... Et là elle rajoute :

"Allez, excuse moi, je sais pas c'qui m'a pris, c'est pas grave, allez..."

Et moi comme une andouille je fond en larmes et je bredouille que j'ai pas fait exprès, que je savais pas qu'elle pensait que je faisais comme elle...

Là tu as le droit, cher lecteur assidu mais critique, de me mettre un coup de pied au fesses ou bien ailleurs, pour mon édifiante démonstration de serpillérage en règle. Une vraie loque. Y'a rien à faire.
Du coup l'atmosphère se détend, et puis après tout va bien, dans le meilleur des mondes.

Episode 2

Semaine suivante, entre temps j'ai raconté ça à ma BM, je lui dit c'est plus possible, dans combien de temps il va pouvoir me prendre, beau papa parce que j'en peux plus là...
Et puis donc lundi matin, je suis au boulot, avec ma patronne, et mon portable sonne. Surprise! On m'appelle jamais! C'est belle maman! Elle me dit que beau papa veut m'embaucher le mois prochain!!!
gnié? Ouah! déjà! Je sais pas quoi dire...
Je raccroche, ma patronne me regarde... faut bien que je dise quelque chose!
Alors je lui explique...
Elle hésite dans sa réaction pour me faire un savant mélange de dépit, de sarcasme, et d'encouragement. Bon, c'est plutôt positif par rapport à ce que ça aurait pu être...
On en discutte, on en rediscutte, moi je suis pas sure encore : est ce que c'est bien, est ce que c'est ce que je veux, est ce que je fais pas une erreur? Il en ressort que vu la conjoncture, je ferai bien de saisir ma chance pour ne pas sombrer avec le navire... Ma patrone a l'air plutôt contente au final, ce qui à la fois me soulage et me frustre un peu (ben oui, elle pourrait me supplier à genoux de ne pas partir, merde!). Sauf quand elle a regardé le planning des prochaines interventions et qu'elle a vu tout le boulot à faire, là elle m'a dit "tu peux pas partir maintenant, faut que tu reste jusque début juillet c'est pas possible!"
Alors là j'ai sorti de ma poche une super idée! Me suis rappelée d'une amie qui habite tout près du bureau et qui cherche justement de toute urgence un travail, de préférence en cdd, parce qu'elle quitte son travail actuel...
Ni une ni deux, ma patrone l'aurait bien reçue le jour même si ladite copine était pas en vacances. Je lui ai rappelé que je n'étais pas encore partie, que je n'avais pas pris ma décision, elle me dit "ah ben non hein, maintenant t'es obligée d'accepter, j'ai prévenu la terre entière!" Bon c'était dit sur le ton de la plaisanterie mais dans le fond c'est un peu ça : comme ça l'arrange quoi...

Me voila donc future secrétaire pour la boucherie de mon BP... Alors faisons la liste du positif et du négatif pour essayer d'y voir un peu plus clair...

Le positif

- C'est tout près de chez moi (20 min à pied)
- C'est la famille (possibilité de s'arranger sur les heures et jours de congés)
- Je serai rapidement augmentée
- Je n'ai plus de frais de transport
- Je pourrai manger avec ma BS le midi

Le négatif

- C'est du secrétariat et de la pré-comptabilité (pas ma branche ni ma vocation)
- C'est la famille (ça peut etre aussi négatif, mélanger famille et travail...)
- Je serai le plus souvent toute seule, c'est un petit bureau en préfabriqué au millieu d'une zone assez glauque.

Bilan : hé ben on dirait bien qu'il y a plus de positif que de négatif non? Qu'en pense-tu cher lecteur? Ca mérite réflexion en tous cas!


Episode 3 : Bon anniversaire Jérémie! Ce week end mérite de figurer dans les annales, cher lecteur! J'ai CUISINE un gateau pour l'anniversaire de mon chéri! J'ai passé deux jours à chercher une recette que je faisais quand j'étais chez ma mère, la recette étant restée chez elle, je me souviens plus trop comment on fait. Pour la génoise, c'est facile à retrouver, mais le glaçage qui fait aussi la garniture, je ne l'ai trouvé nulle part. Donc cher lecteur si par hazard tu as de la famille dans la pâtisserie (j'en ai bien dans la boucherie moi!) tu serai bien aimable de demander si quelqu'un a la recette d'un glaçage-fourrage à base de chocolat, beurre, blanc en neig et sucre glace... Sinon si tu es accroc aux tupperwares, tu as peut être le petit livre de recette tupperware (buffet et fêtes je crois) dans lequel il y a un gateau d'anniversaire au chocolat en 3 étages, c'est là que j'ai pioché le glaçage...

Bref, ne trouvant pas ce que je cherchait, je me suis rabattue sur la première recette que je trouvais, intitulée "gateau d'anniversaire facile au chocolat"... c'était parfait.
Je file donc faire les courses pour acheter les ingrédients, bien sur j'oublie ma liste à la maison, donc j'en profite pour acheter 4 fois plus de chocolat que nécessaire (tant qu'à faire :P ), puis je me met au boulot, assistée par Cédric qui goutte assidûment chaque étape de ma préparation.
Je suis les instructions à la lettre, sépare mes blancs des jaunes en me débrouillant pour avoir au final deux espèces d'omelettes avec une dominante de blanc à gauche et une dominante de jaune à droite... pas douée la truiss! J'arrive au bout de mes explications et je me dit : pourquoi j'ai toujours mon paquet de levure et ma farine intacte?
Réponse : parce que l'imbécile heureuse qui a écrit la recette sur marmitton.org a oublié de dire à quel moment il fallait les incorporer! Je mélange donc ça à ma pâte, en dosant à la louche, et je prie pour que ça prenne...

Au final, mon gâteau avait pas trop mauvaise mine, il était un peu sec et un peu brûlé sur les bords mais ça allait... Jérémie a bien apprécié que je prenne le temps de lui cuisiner un gâteau!

Pour l'occasion j'avais appelé tous ses copains mais comme je m'y suis prise à la dernière minute, ils étaient presque tous déjà pris... Heureusement, Piark était là, et Taz également qu'on a revu avec plaisir, et même Voxel qui a trouvé un peu de temps pour venir manger le gâteau avec nous.
On a passé une bonne journée, tranquile et sympathique, après quoi les garçons sont allés chez Piark (Voxel est retourné auprès de sa chérie qui accouche bientôt) et moi je suis restée avec Cédric.

Episode 4

La roue tournerait-elle? Aujourd'hui Jérémie a appelé une annonce qu'il a reçu de l'anpe, et a eu un bon contact téléphonique. On a bossé sur sa lettre de motiv car le gars a bien précisé qu'il ne voulait pas d'une lettre trouvée sur internet... c'est envoyé! Je sais pas pourquoi, mais je la sens bien cette affaire! Et toi cher lecteur?
Et pour couronner le tout, j'ai appelé la sécu pour savoir si le 100% de Cédric est bien reconduit, je pensais vraiment qu'il y avait 80% de chances qu'on me réponde "oh ben on a oublié de traité votre dossier, faut patienter encore un mois..." mais non, une gentille dame m'a dit que c'était bien renouvellé depuis le 5 avril et que j'allais recevoir un courrier... ouf! ça m'a bien soulagée!

Voilà tout un tas de péripéties et de bonnes nouvelles et ça m'a fait bien plaisir de les partager avec toi, cher lecteur de mon coeur!

02 avril 2006

Dense dense le week end...

Et même pas de poisson d'avril!


Vendredi...

Je suis rentrée super tôt à la maison parce que j'ai bossé à Meaux. J'étais chez moi à 16h00 à peine! Les voisins d'en face avaient encore laissé leur porte d'entrée ouverte et ça sentait le cury dans tout l'immeuble... si j'avais su ce que tu vas bientôt savoir, cher lecteur!
Cédric était à la halte alors on était tranquile tous les deux, avec Jérémie. A 17h30, on sort pour aller le chercher, la porte des voisins est toujours ouverte et ça sent très fort.
Christiane devait venir pour emmener Cédric chez le coiffeur et Jérémie devait aller au bureau de son beau père pour programmer la caisse enregistreuse. Mais l'heure tournait et Christiane n'arrivait pas, donc j'ai emmené Cédric. Comme ils pouvaient pas le prendre tout de suite on s'est prommenés un peu, il marche bien, sans se fatiguer, maintenant. Parfois il chouine parce qu'il n'a pas envie de me tenir tout le temps la main, ou bien les voitures qui passent un peu vite et les motos lui font peur.

Chez le coiffeur, Cédric s'installe gentiement, c'était plutôt bien parti, sauf quand l'une des coiffeuses a allumé un appareil genre ventilateur très bruyant à côté de lui, il a fait un bond et a hurlé pendant 5 bonnes minutes, j'ai fini par réussir à le calmer. La coiffeuse était un peu désagréable, sans le vouloir, mais elle faisait des réflexions du style que les cheveux bouclés c'est joli, mais les siens le sont trop, des choses comme ça... bon c'était pas méchant mais ça m'énervait un peu. Ensuite elle me dit que ça serait bien de lui passer un coup de tondeuse sur les côtés, alros je dis ok, on peut essayer. Mais vu le bruit qui lui avait fait peur un peu avant, il a pas apprécié du tout donc on a pas insisté.
15 minutes et 14 euros plus tard, vla mon Cédricou tout beau avec sa nouvelle coupe, comme vous pouvez le constater :)

Nous rentrons donc à la maison, Catherine nous attendait et Christiane était partie au bureau avec Cédric. On a passé un bon début de soirée ensemble, puis Christiane et Jérémie sont rentrés et Christiane et Catherine sont reparties.

Vers 21h00, on toque à la porte. Je vais ouvrir, suivie par Jérémie, Cédric était au lit. "Gendarmerie nationnale, je viens vous poser quelques questions..." Sueur froide pour tous les deux, hé merde, on s'est fait gauler pour quoi??? "Enquête de voisinage" ajoute le fonctionnaire en voyant nos tronches de merlant frit. ffffiou, soulagement, mais aussi étonnement : quoi qu'il se passe? "Vous connaissez vos voisins d'en face?" haaaa ben oui, forcément, ils ont encore du faire du bruit et les flics en on marre alors ils ont décidé de faire quelque chose, me dis-je. "Oui oui", que je répond au gendarme, "entrez donc on va pas discutter sur le palier! Par contre pas trop fort pasque le petit dort..." Donc on commence à répondre à quelques questions qui commencent à m'inquiéter : est ce qu'ils se disputaient souvent? Est ce qu'on entendait des fois des cris, qu'est ce qu'on pensait du voisin, etc... je demande alors mais qu'est ce qu'il se passe, et là le gendarme me dit que la voisine est décédée...
J'en reviens pas, je le regarde et je ne sais plus quoi dire d'un coup, puis je bégaie stupidement : "Mais c'est pas possible, elle peut pas être morte, ça a senti le cury tout l'après midi..." Je sais pas pourquoi j'ai dit ça, c'était idiot, mais cher lecteur, tu peux bien mettre ça sous le coup de l'émotion car c'est la pure vérité... Là le gendarme m'explique donc que la femme est morte il y a à peine 1/2 heure et là je vous jure que ça fait froid dans le dos... Le gendarme s'excuse de nous gâcher notre soirée et nous pose encore quelques questions, puis il nous dit qu'on sera surement convoqués au commissariat pour d'autres questions.

Vraiment, ce voisin, on le sentait pas (enfin si, le cury on le sentait, c'est lui qu'on sentait pas!) depuis le début, mais jamais, au grand jamais je n'aurai imaginé qu'il tuerai sa femme! Je ne la connaissait pas bien mais je la croisais souvent ! timide, triste, polie, elle me disait toujours bonjour avec un sourire d'excuse qui me faisait de la peine.

La police a rappelé quelques minutes après pour nous reposer 2-3 questions, mais on a pas eu d'autres nouvelles depuis. Le week end s'annonce très très mal... :(


Samedi

Le lendemain, j'emmène Cédric chez l'othophoniste. Pour une fois on s'est levé ensemble, Jérémie et moi, on était tellement sonné la veille qu'on s'est couchés tôt tous les deux! Jérémie reste à la maison car Piark est venu nous dire bonjour. On fait le trajet à pied, et Cédric marche bien, sans rechigner, il est trognon à trottiner avec son doudou à la main.
La séance se passe bien, comme d'hab, et l'orthophoniste me dit qu'elle trouve Cédric vraiment très éveillé, très malin, et qu'il a une excellente mémoire. Elle me redit aussi qu'il sera artiste plus tard, il adore le dessin et il se débrouille bien! Il s'applique pour faire les exercice, elle n'a besoin de lui montrer qu'une fois les choses pour qu'il comprenne. Elle me dit que ses difficultés sont vraiment uniquement d'ordre physiologique... je t'explique pas comme ça me rassure, toi aussi non, cher lecteur?

L'orthophoniste nous a pris en retard, il est 12h30 quand on sort du cabinet, et on trainaille un peu en route. Je décide de faire un tour chez Z et je fais chauffer la carte bleue qui n'avais pas du tout du tout besoin de ça! Mais bon, Cédric avait besoin de vêtements alors crotte! Il fait le fou dans le magasin et fait du charme aux vendeuses qui jouent avec lui pendant que je choisis ses vêtements. Il en profite pour monter et desendre tout seul les escaliers (avec la rampe), il ne savait pas descendre avant, il a commencé un peu à apprendre chez Claude Lise (merci Davidou!
hihi) et là il s'en sort pas mal!

Le retour à la maison, est un peu plus dur, Cédric a faim, il est fatigué d'avoir beaucoup marché et de s'être concentré chez l'orthopohoniste. Quand on arrive, Jérémie me dit qu'une journaliste ud parisien est venue poser des questions. Elle lui a appris que le mari avait jeté sa femme par la fenêtre sous les yeux de leur fils de 6 ans :( ça me fiche un coup! Pauvre gosse! Que va-t-il devenir?

Cédric mange, puis je le met au lit. Nous on se mange de la purée et des quenelles, pas folichon mais bon, on fait avec ce qu'on a! L'après midi est calme, Cédric dort bien, Piark code sur son portable, Jérémie fait de la 3d, et moi je travaille le gfx qu'il m'a demandé pour la démo.

En parlant "art", je me suis rappelée que j'avais reçu une invitation pour un vernissage, le soir même. Mon ancien prof d'arts plastiques qui expose à Quincy. Je n'ai jamais vu ce qu'il faisait, alors c'est l'occasion! A 18h30 donc j'empoigne le lardon, pendant que les "mâles" vont chez Saturne parce que Piark a encore un truc à s'acheter, et je prends le bus. L'expo a lieu à la mairie, il y a beaucoup de monde. On fait le tour des oeuvres avec Cédric, qui regarde tout attentivement (bon en fait il cherche la connerie à faire :D ), je suis assez surprise de ces natures mortes et de ces paysages briards. J'aime la facture des tableaux, c'est vraiment bien exécuté, c'est très mûr et doux en même temps, mais le sujet me laisse un peu perplexe dans la mesure où je connais mon ancien prof pour être un fervent militant syndiqué, toujours très engagé, un peu désabusé. Je n'imaginais pas ce genre de toiles, ça me surprend! Je le lui marque sur le livre d'or que Cédric essaie de copieusement gribouiller aussi au passage.
On se dit bonjour quand j'arrive à la "toper", je rencontre 2-3 personnes que je connais du collège, on n'a pas grand chose à se dire, il y a du monde et il fait chaud. Cédric aimerait bien manger toutes les chips du buffet donc je m'éclipse avant qu'il ne me tape une crise :D

Je file directos chez belle maman qui habite juste à côté. Catherine est là, on prends l'air sur la terrasse en attendant Christiane. Cédric joue avec les affaires de beau papa dans son bureau pendant que j'aide Catherine à "débourrer" l'imprimante. Ensuite, Christiane arrive et profite que je sois là pour me donner toutes les affaires qu'elle ne met plus et qui sont dans son armoire. La plupart des vêtement sont neufs, elle achète, achète, et n'en met pas la moitié! Moi ça me fait plein de vêtements comme ça, même s'ils ne sont pas forcément à mon goût, en général ce sont des choses jolies!

Catherine "craque" et donne son cadeau d'anniversaire à Cédric. Un loup en plastique qui roule avec une télécommande et qui mange des petits cochons également en plastique... ça lui a bien plu, et il dansait sur la musique :)

J'ai fait manger Cédric et puis on est rentés à la maison. Soirée "ordi" avec Piark et Jérémie, je me suis couchée vers 1h00 du matin et j'ai mis le réveil pour aller à la piscine avec Piark.


Dimanche sportif!

Donc dimanche matin, je rejoint Piark chez lui pour aller à la piscine, et c'est déjà une vraie expédition que d'arriver jusqu'à son appart!
Je passe à la boulangerie prendre une viennoise au chocolat et chausson aux poire, histoire de prendre des forces avant l'effort, hihi, puis je marche jusqu'à son immeuble. Arrivée dans le hall, je me trouve face à l'interphone et impossible de me souvenir du numéro de sa porte. A côté il y a la liste des locataires avec les numéros associés, mais depuis qu'il habite là Piark n'a pas pensé encore à y mettre son nom! J'essaie deux sonnettes au hazard, mais ça ne répond pas. Bien sûr, j'ai oublié mon portable donc je peux pas l'appeler. Je sors pour voir si y'a une cabine pas loin mais non, rien. Il pleut à verse. J'ai pas envie de me faire le chemin en sens inverse, y'a bien 10 minutes jusqu'à chez moi.
Je fais le tour de l'immeuble pour voir si je peux pas me débrouiller pour rentrer par le parking ou le local à poubelles mais non, que dalle, c'est une vraie forteresse! Je me poste sous son balcon mais la fenêtre est fermée, et j'ai pas envie d'ameuter tout le quartier en beuglant "PIIIIAAAARKKKK!"
Je retourne dans le hall, trempée déjà, et je me dit bon, de toutes façons il habite au 2e donc ça doit être un numéro dans les 200 quelque chose. J'en essaie 2 et là une dame me répond. Je lui demande si elle peut m'ouvrir, et j'entends le "clic" salvateur... ouf!
Un deuxième hall avec les boites aux lettres où je peux vérifier le numéro de l'appartement : c'est le 205, moi j'avais tablé 211... je le saurai maintenant!
J'appelle l'ascenceur, je monte dedans, j'appuie sur le boutton "2" et là... rien. Je me dit merde, il est en panne ou quoi? Bon, je sors de l'ascenceur pour aller prendre l'escalier. Oui, mais la porte de l'escalier est fermée... à clé! C'est très malin ça! Mais il font comment les gens ici, ils invitent jamais personne ou quoi? Donc je remonte dans l'ascenceur et là j'appuie un peu sur tous les bouttons au pif en me disant que peu importe l'étage, la porte de l'escalier peut pas être fermée à TOUS les niveaux quand même!
Et là par mircle, l'ascenceur m'emmène au 2e!
La porte s'ouvre et je me trouve nez à nez avec la dame que j'ai dérangée en sonnant chez elle. Je bredouille que j'avais oublié le numéro, mais ça va, elle est gentille elle ne m'engueule pas. Me voilà enfin chez le piark dans son minuscule 20m². On prends notre petit déj et on papotte, puis on se met en route, toujours sous la pluie, à pieds jusqu'à la piscine. On s'en fout, qu'on se dit, puisque de toutes façons dans l'eau on sera mouillés, autant prendre de l'avance!

Oui, mais arrivés devant la piscine, on voit une grande affiche comme quoi il y a un meeting ce week end donc on peut pas se baigner! Et meeeerde! Et puis une petite affiche qui dit que dorénavant les bonnets de bains sont obligatoires! Et re-meeerde!
On retourne donc sous la pluie chez le Piark se boire un autre café de consolation, il est déjà 11h00. On papotte tant et si bien qu'il est midi passé quand on arrive à la maison. Jérémie hallucine quand je lui dit que la piscine était fermée...

Je décide de me mettre au repas, d'autant que Piark a rendez vous avec une FILLE cet aprem alors faudrait pas le mettre en retard. Je sors du congel une énorme cuisse de dinde... quelle bonne idée! Il faudra plus d'une heure de cuissons pour qu'elle soit mangeable! Mais c'est pas grave :D de toutes façons la nana n'a pas rappelé Piark donc il y est pas allé.

Après manger, il fait super beau, alors on se dit qu'on pourrait aller faire un tour dans les bois, pas loin de Meaux, le bois de Monceau qui est très grand et bien entretenu. Je me rappelle qu'il ya un parcours de santé et je me dit que ça pourrait être sympa à faire.
Nous vla donc partis en voiture cette fois, à la recherche du fameux parcours de santé, qu'on ne trouve pas. Par contre on trouve un site très sympa avec des ruines d'un vieux château, ou d'une abaye, ou je ne sais quoi, à toi de me le dire cher lecteur (photo ci-contre).
C'est là que ma soeur Babeth avait fait ses photos de mariage, je me souviens bien des photos, mais je n'étais jamais venue.
On ne peut pas se balader dedans, donc on reprends la voiture toujours à la recherche du fameux parcours de santé, qu'on ne trouve pas.

Finalement, on emprunte un chemin un peu au hazard et on se balade un bon moment. Cédric est content, il découvre la foret, les batons, les cailloux, et les fleurs... il marche d'un bon pas, sans rechigner, il faut toujours très beau, on passe un super bon moment!


On a fait ensuite une petite pause goûter, Cédric commençait à fatiguer, ça faisait bien 2 kilomètres qu'on marchait. Piark voulait qu'on aille encore un peu plus loin pour aller voir en haut de la côte ce qu'il y avait, mais mon petit bonhomme en avait marre, et pis nous on avait un ptit creux, il était déjà 17h00 alors on a rebroussé chemin, et bien sûr non seulement Cédric ne voulait plus marcher, mais il ne voulait que mes bras à moi, donc retour avec Cédric aux bras ou sur les épaules, je vous dit pas les courbatures demain!


Piark s'est planté des aiguilles dans les fesses en faisant l'andouille.

En rentrant on est passé au Quick histoire de se requinquer un peu, héhé, c'est qu'après tout ça on avait faim! Ensuite un bon bain pour Cédric et moi, repas du soir pour Cédric et dodo pour mon ptit loup bien fatigué!

Et moi, après la soirée à vous écrire ce post, je vais suivre le même chemin! Bonne nuit, lecteur passionné mais fatigué! :)